Elisa Medinilla (Nadar Ensemble) performs the new 2016 version of 'Piano Hero #2' for midi-keyboard, piano, live-video and live-electronics; live-recorded at Musikhochschule Stuttgart during the "Wirklichkeiten Conference". Electronics & sound: Wannes Gonnissen. [Inside piano on videos played by Frederik Croene, Videos recorded by Kobe Wens ]
vrijdag 17 juni 2016
NADAR: Piano Hero #2 (new 2016 version) (Stefan Prins, 2011, rev. 2013/2016)
zaterdag 21 mei 2016
Zwerm - Electric Consort: Quatre garçons amoureux de la Renaissance
Un côté planant
Parfois, la musique, au ton expérimental, a un petit côté planant. Un frottement de cordes, un pincement, un « accident » volontaire, constituent des ornements et la pédale, quelque part, joue le rôle de la basse continue.
À un moment donné, les musiciens, délaissant leur guitare, se réunissent autour d'une table basse sur laquelle sont posés bon nombre d'appareils et des partitions. Des petites boîtes de couleurs, s'échappent des sons qui semblent sortis d'un orgue baroque. C'est tout à fait charmant. Non seulement la musique est belle, mais en plus on entend clairement le claquement des registres de l'instrument. Pour un peu, on se croirait dans l'ombre d'une chapelle ancienne où chante un Dallam plus vrai que nature. Puis, reprenant leur guitare, les musiciens empruntent un autre chemin, plus solide, plus exubérant. Là encore, il suffit d'un rien, d'un grattement sur les cordes, d'une inclination d'un instrument pour fabriquer un son nouveau, quelque chose qui donne du corps à la musique.
Un ton nouveau
La danse pointe ici et là. Et puis, par deux fois (In Nomine I et II), la voix d'une comédienne se détache sur celle des instruments. C'est d'une grande émotion. Les musiciens néerlandais ont fait, mercredi soir, la preuve qu'on peut, tout comme le fait, dans son domaine, l'Arpeggiata de Cristina Pluhar, donner un ton nouveau à ces musiques nées il y a longtemps en leur gardant leur saveur originelle.
Parfois, la musique, au ton expérimental, a un petit côté planant. Un frottement de cordes, un pincement, un « accident » volontaire, constituent des ornements et la pédale, quelque part, joue le rôle de la basse continue.
À un moment donné, les musiciens, délaissant leur guitare, se réunissent autour d'une table basse sur laquelle sont posés bon nombre d'appareils et des partitions. Des petites boîtes de couleurs, s'échappent des sons qui semblent sortis d'un orgue baroque. C'est tout à fait charmant. Non seulement la musique est belle, mais en plus on entend clairement le claquement des registres de l'instrument. Pour un peu, on se croirait dans l'ombre d'une chapelle ancienne où chante un Dallam plus vrai que nature. Puis, reprenant leur guitare, les musiciens empruntent un autre chemin, plus solide, plus exubérant. Là encore, il suffit d'un rien, d'un grattement sur les cordes, d'une inclination d'un instrument pour fabriquer un son nouveau, quelque chose qui donne du corps à la musique.
Un ton nouveau
La danse pointe ici et là. Et puis, par deux fois (In Nomine I et II), la voix d'une comédienne se détache sur celle des instruments. C'est d'une grande émotion. Les musiciens néerlandais ont fait, mercredi soir, la preuve qu'on peut, tout comme le fait, dans son domaine, l'Arpeggiata de Cristina Pluhar, donner un ton nouveau à ces musiques nées il y a longtemps en leur gardant leur saveur originelle.
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donderdag 19 mei 2016
Nadar @ Stuttgart - 19/05/2016
“Tomorrow you may bring about the destruction of your world. Tomorrow you may sing in Paradise above the smoking ruins of your world-cities. But tonight I would like to think of one man, a lone individual, a man without name or country, a man whom I respect because he has absolutely nothing in common with you - MYSELF. Tonight I shall meditate upon that which I am.” (Henry Miller)
At the State University of Music and the Performing Arts Stuttgart Nadar will perform Fremdarbeit by Johannes Kreidler and 1984 IT’S OK by Jennifer Walshe during the congress “Wirklichkeiten hören kompnieren interpretieren”
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NADAR
vrijdag 19 februari 2016
Zwerm: Feu
26 februari 2016
Kunstencentrum BUDA
Kapucijnenstraat 108500 Kortrijk
In FEU danst de getalenteerde Argentijnse Cecilia Lisa Eliceche de rol van Antigone, Sophocles’ verpersoonlijking van het verzet en het eerste personage in de theatergeschiedenis dat een solo-rol opeiste tegenover het koor. Choreograaf Etienne Guilloteau plaatst haar tegenover de gitaristen van het Belgisch-Nederlandse kwartet Zwerm.
FEU toont onze innerlijke strijd tussen passie en rede…
Dans Cecilia Lisa Eliceche
Muziek Zwerm
Light design Hans Meijer
Beelden Jean-Loup Leclercq
Kostuums Anne-Catherine Kunz
Productie Action Scénique
Coproductie BUDA Kunstencentrum
In samenwerking met STUK, Kaaitheater, wpZimmer, Pianofabriek kunstenwerkplaats
Meer info: Kunstencentrum BUDA
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ZWERM
donderdag 11 februari 2016
Besides: Logic rock - Matthew Shlomowitz
Besides
Jeroen Stevens - drums
Toon Callier - elektrische gitaar
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